LA CENSURE COMME AVEU : LE COMBAT POUR LA TRANSPARENCE CONTINUE

Publié le 1 novembre 2025 à 08:17

MONTRÉAL, le 27 octobre 2025 – L'existence de ce site web est une conséquence directe de l'échec d'une tentative de censure judiciaire visant à étouffer un scandale d'intérêt public.

Le 16 octobre 2025, un juge de la Cour Supérieure a ordonné le blocage complet d'une précédente plateforme d'information. Cette décision choc, d'une sévérité exceptionnelle, s'apparente en tout point à une poursuite-bâillon déguisée.

L'ordonnance visait à cacher la vérité. Elle est devenue la meilleure preuve de l'importance des faits qu'elle cherchait à dissimuler.

Le Prétexte et la Cible Réelle

La justification officielle de cette censure radicale était la protection de la vie privée dans un dossier de nature familiale. Cependant, la portée de l'ordonnance révèle un objectif beaucoup plus vaste.

Le tribunal n'a pas seulement ordonné le retrait d'informations sensibles. Il a ordonné le blocage complet du site, justifiant que même le contenu non lié à cette affaire était problématique à cause du "nom et de l'objet du site".

Plus accablant encore, l'ordonnance interdit de mentionner "directement ou indirectement" toute information, qu'elle soit privée ou publique, concernant "...les avocats, le juge, le personnel de la cour ou toute autre personne".

Suite à une deuxième audience sur cette même injonction, la censure a été augmentée afin de restreindre les interactions du demandeur avec les journalistes et les éditeurs, dans une tentative apparente d'empêcher la publication de son histoire par d'autres moyens.

La cible n'a jamais été la protection de la vie privée. La cible était la critique des institutions. L'ordonnance est un bâillon complet conçu pour protéger le "cercle fermé" des acteurs judiciaires.

La Faillite Institutionnelle que le Tribunal Veut Cacher

Pourquoi une mesure aussi extrême ? Parce que la plateforme précédente avait commencé à publier des preuves irréfutables d'une faillite systémique, au cœur de la poursuite civile 705-17-012105-258 :

  • La Fuite d'un Avocat : La preuve qu'un avocat d'un cabinet réputé a démissionné du Barreau et a fui en Chine alors qu'il était visé par une enquête criminelle pour collusion.

  • Le Camouflage du Syndic : La preuve écrite que le Bureau du Syndic du Barreau a non seulement blanchi cet avocat fugitif, mais a admis avoir commis une "erreur factuelle fondamentale" dans sa propre enquête bâclée.

  • L'Obstruction de la Justice : La preuve documentée de l'altération et de la destruction de pièces au sein même du greffe d'un palais de justice.

  • L'Implication d'Acteurs Judiciaires : Les communications officielles du DPCP confirmant le transfert d'une enquête criminelle pour "collusion impliquant des acteurs judiciaires" en raison de conflits d'intérêts locaux.

  • L'Intimidation des Médias : La mise en demeure envoyée par les avocats du Fonds d'assurance à un journaliste pour l'empêcher de couvrir l'affaire.

  • La Crise Réglementaire : La preuve qu'une plainte formelle pour "faillite de gouvernance majeure" a été déposée et est en cours d'examen à l'Autorité des marchés financiers (AMF).

Ce sont ces faits d'intérêt public que l'ordonnance visait à étouffer.

Une Nouvelle Plateforme Conforme

Ce nouveau site se présente comme la réponse à cette situation. Il est conçu pour poursuivre la mission d'information sur les enjeux d'intérêt public, tout en respectant scrupuleusement le cadre imposé par la décision judiciaire du 16 octobre.

Le site publie les faits et les preuves documentaires de la faillite institutionnelle alléguée, dans une section dédiée à la transparence.

Pour se conformer à l'ordonnance, tout contenu permettant d'identifier les intervenants protégés par la cour dans le dossier connexe est temporairement caviardé. Les faits institutionnels, eux, demeurent exposés.

Selon les informations disponibles, des démarches juridiques seraient activement poursuivies pour faire lever cette censure et exposer la vérité dans son intégralité. Malgré les entraves et les menaces d'emprisonnement pour outrage au tribunal qui pèsent sur le fondateur du site, la collaboration avec les journalistes d'enquête se poursuivrait.

La vérité ne peut être censurée indéfiniment.

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